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 Michel Sardou

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pierredu21
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pierredu21


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Michel Sardou Empty
MessageSujet: Michel Sardou   Michel Sardou I_icon_minitimeSam 26 Jan - 14:31

Michel Sardou, né le 26 janvier 1947 à Paris1, est un chanteur français. Fils des comédiens Fernand Sardou et Jackie Sardou, il est aussi le petit-fils du comédien et humoriste Valentin Sardou. Il compte, depuis les années 1970, parmi les chanteurs français les plus populaires, comme en attestent ses ventes de disques et l'affluence du public lors de ses rentrées parisiennes et de ses tournées.
En plus de quarante ans de carrière, il a enregistré vingt-trois albums studio et plus de trois cents chansons; ses ventes sont estimées à près de 90 000 000 de disques2. Michel Sardou a obtenu à deux reprises une Victoire de la musique pour avoir fédéré le plus grand nombre de spectateurs au Palais Omnisports de Paris-Bercy, en 1989 puis en 19983. Il est le recordman du nombre de séances et de spectateurs dans cette salle, tout artistes, spectacles et époques confondus avec quatre-vingt-onze représentations à ce jour[réf. nécessaire]. Il est également comédien au théâtre et au cinéma.
Origines et enfance
Michel Sardou est l’héritier d’une longue tradition familiale de spectacle. Ses grands-parents paternels étaient comiques de scène à Marseille ; sa grand-mère maternelle était danseuse. Il passe son enfance dans des cabarets parisiens et suit ses parents en tournée.
Sa situation scolaire peu brillante et la vie qu'il mène, entre coulisses et salles de spectacles, le poussent petit à petit à envisager d'arrêter ses études. En 1964, âgé de dix-sept ans, il projette de s'enfuir au Brésil. Son père Fernand le rattrape à l'aéroport.
Les débuts (1965-1970)[modifier]
Michel Sardou débute dans la chanson en 1965 avec Le Madras, co-écrite avec Michel Fugain et Patrice Laffont. Cette chanson lui offre un premier passage à la télévision, mais tombe rapidement dans l’oubli. S’ensuit une série de 45 tours, qui font petit à petit connaître ce nouveau venu dans la chanson (il n’a pas encore vingt ans), sans pour autant rencontrer de véritable succès commercial.
Sa carrière est réellement lancée en 1967, grâce à une censure : alors que la France est sortie de l’OTAN un an plus tôt, et que la guerre du Viêt Nam provoque une vague d’antiaméricanisme en France, Michel Sardou sort Les Ricains, chanson qui insiste sur le devoir de reconnaissance envers les États-Unis, sans qui, d’après lui « Vous seriez tous en Germanie4/À parler de je ne sais quoi/À saluer je ne sais qui », claires allusions à la Libération de 1944 par les forces alliées. La chanson n’est pas du goût du Général de Gaulle, qui « déconseille » sa diffusion sur les ondes.
Cet épisode confère au chanteur une notoriété nouvelle. Elle jette surtout les bases de son style futur. Entre 1967 et 1970, il peinera néanmoins à rencontrer un franc succès.
Devant l’enchaînement de 45 tours au succès très mitigé, Eddie Barclay, qui le produit à l’époque, décide en 1969 de résilier son contrat, ne l’estimant « pas fait pour ce métier ».
Sardou crée alors, avec Jacques Revaux, qui deviendra son plus fidèle compositeur, et Régis Talar, le label Tréma (Talar Revaux Édition Musicale Association), qui produira désormais ses disques.
L'ascension (1970-1975)
1970 est l’année qui le propulse véritablement au rang de vedette. Il enregistre l'album J'habite en France, dont est extrait le 45 tours qui deviendra son premier grand succès radiophonique et commercial : Les bals populaires. Alors qu’il n'en voulait initialement pas, cette chanson le place en première place du hit parade. Il retrouvera cette place à deux reprises dans l’année, avec les tubes J’habite en France et Et mourir de plaisir.
Le style de l’album J'habite en France, qui obtient le prix de l'Académie Charles-Cros en 1971, vaut à Sardou d'être classé dans la catégorie « chanteur populaire ». La chanson du même nom l’impose même comme le chantre de la « France profonde » aux yeux des médias. C’est une image dont il ne se débarrassera jamais au cours de sa carrière, bien qu’il ne se soit pas éternisé dans le registre de la chanson à boire.
Les bals populaires ont cependant ouvert la voie à une décennie de succès permanent : à chaque sortie d’album, Sardou se hisse dans les premières places des hit parade. C’est le cas avec Le Rire du sergent (1971), Le surveillant général (1972), et en 1973, avec La maladie d’amour. Cette chanson reste à ce jour son plus gros succès radiophonique, l'album du même nom restant 21 semaines en tête des ventes6, un record pour l'époque. Cette réussite sera confirmée par le succès rencontré par les chansons qui suivront : Les vieux mariés, Les villes de solitude (1973), Une fille aux yeux clairs (1974).
En 1971, Michel Sardou se produit pour la première fois à l'Olympia, confirmant son statut de vedette. Parallèlement à sa popularité, le chanteur fait l’objet de polémiques de plus en plus vives. Des voix féministes s’élèvent contre les chansons Les villes de solitude, où Sardou se mettant dans la peau d'un homme sous l'emprise de l'alcool, chante "J'ai envie de violer des femmes, de les forcer à m'admirer" et Les vieux mariés, au ton perçu comme très patriarcal.
En novembre 1975 sort le 45 tours Le France, chanson dans laquelle Sardou s'exprime au nom du paquebot du même nom, à cette époque amarré à un quai du port du Havre, alors que le gouvernement de Jacques Chirac a annoncé mettre fin à la prise en charge de son déficit : « Ne m'appelez plus jamais France / La France, elle m'a laissé tomber » chante Michel Sardou. La chanson se vend à plus d’un million d’exemplaires et vaut à Sardou d'être salué par les syndicats et le Parti communiste français7, malgré son image de chanteur engagé à droite. Cette chanson précède un album - La vieille - qui, malgré son succès, causera au chanteur bien des désagréments...
Controverses et succès (1976-1977)
1976 débute sous de mauvais auspices pour le chanteur, dont le père meurt en janvier.
En outre, malgré le grand succès public de l'album La vieille, plusieurs titres susciteront la polémique : J'accuse, Le temps des colonies et surtout Je suis pour, lui vaudront bien des déboires.
Avec Le temps des colonies, Sardou se voit accusé de faire l'apologie d'un colonialisme primaire et raciste. Les radios refusent de diffuser le titre, sauf France Inter - qui ne le diffusera qu'une seule fois. Libération commente alors : « Le fascisme n’est pas passé et Sardou va pouvoir continuer à sortir ses sinistres merdes à l’antenne8. »
Mais le chanteur ne renonce pas à occuper le terrain du politique. Il lance en octobre 1976 Je suis pour qui, cette fois, est massivement diffusée. La chanson évoque un père dont l'enfant a été assassiné, qui clame à cor et à cri : " Tu as tué l'enfant d'un amour, je veux ta mort, je suis pour ". Le titre sort en pleine affaire Patrick Henry, et met définitivement le feu aux poudres, Sardou se voyant accusé de faire l'apologie de la peine de mort.
Alors que le chanteur semble se positionner nettement à droite, ses principaux détracteurs sont Libération, Rouge et Le Quotidien du peuple, trois journaux marqués à gauche. Sardou déchaîne des batailles éditoriales, comme par exemple dans les colonnes de L’Humanité. Mais il suscite également de profondes interrogations sur le sens sociologique de son succès. Dans Rouge, on peut lire par exemple9 :
« Le propre d’un chanteur comme Sardou est d’être parvenu à donner forme à une chanson réactionnaire, au sens fort du mot. Il exprime les effets de la crise des valeurs et de l’idéologie traditionnelle sur ceux qui ne sont pas prêts à remettre présentement celle-ci en cause. »
Les pro et les anti-Sardou, journalistes comme artistes, font entendre leur voix. Ses soutiens écrivent dans les colonnes du Figaro, de Paris Match ou même du Monde.
Début 1977, plusieurs « comités Anti-Sardou » se forment, qui se donnent pour but d’empêcher le chanteur de donner ses récitals au cours de la tournée qui commence en février 1977 : ils organisent des manifestations en province contre sa venue, l’accueillent par des insultes à son arrivée, peignent des croix gammées sur les véhicules de sa caravane, distribuent des tracts très virulents. Une bombe est même retrouvée dans la chaufferie du Forest National, à Bruxelles. Michel Sardou prendra la décision d’annuler les quatre dernières dates de sa tournée.
En 1978 paraît un opuscule intitulé Faut-il brûler Sardou ?, symbole du climat hostile qui entoure la carrière du chanteur à cette époque.
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